Exit

KILL MY TV & EAT MY BRAIN

Dimanche 29 mai 2011 à 2:55

 Putain, je suis devenue insomniaque ça y est. Igor, trouves moi du boulot.

Samedi 28 mai 2011 à 11:20

L'amour, ça tient chaud l'hiver. Même quand t'as pas de poêle à bois. Même si tes chaussettes sont trouées et que ta couverture est rongée par la vermine. Dommage, on est en été. (Presque) J'irai tremper mes gâteaux dans l'Ice-Tea chez vous. J'irai dormir chez vous. Je ferai un cache-cache géant dans une ville, et je repeindrai mon vélo à la bombe. J'irai m'acheter des bonbons flans, et ferai claquer le sac après l'avoir gonflé. Je me planterai un morceau de verre dans le pied, et je l'enleverai avec la pince à épiler et le désinfectant qui pique pas. Un jour, j'ai fait une bêtise. J'ai tatoué un asterisque sur mon bras. L'astérisque est un symbole de référence. Je vous raconte pas hein. Qui me coupe le bras?

Vendredi 27 mai 2011 à 14:03

 Les smartphones c'est bien chouette. Mais j'imagine les gens galérer à lire mes messages. Parce que pour moi, ça fait un genre de conversation qui défile, et je me crois sur messagerie instantanée (alors que j'en ai même pas en vrai, si, si, c'est pas pour moi msn) alors que la personne à un boitier à écran minuscule, comme la vitre d'un four de Barbie, et doit revenir dans le menu avec la petite enveloppe pour lire un seul message que j'ai divisé en 3 parties parce que je sais pas réfléchir. Bref, on s'en tape un peu de tout ça. 
J'ai lu le mot pétasses tout à l'heure, ça m'a fait  resurgir plein de souvenirs comme les bulles d'un vieux champagne dégueulasse dans la gorge. J'en ai connu pendant 4 ans des petites pétasses qui se croient tout permis. Bon, je suis assez jalouse des nanas qui font la bise comme les mamies gâteuses, en déposant un gros bisous sur la joue du gars. Moi quand je fais la bise, c'est avec ma joue et un petit bruit de bouche. Et bien elles, non, c'est LE bisou de pétasse. Et ça, ça me fait sortir les gonds de porte de tout le quartier. J'vous raconte pas la gueule des voisins avec tout ça. Bref, donc vu que j'aime pas quand on m'énerve, je dis "ciaooo les pintades, il y a promo sur les Longchamp au coin de la rue de la Mimolette" et vas y que ça y court. Bon, je vous ai menti. Je laisse les pimprenelles faire parce que si je dis quelque chose, je fini par dormir sur le palier, dans un sac poubelle, sans visa ni passeport. Je le prends bien maintenant, mais à vrai dire, c'est vrai, motus et bouche cousue, sinon l'ogre me bouffe toute crue après m'avoir fait bouillir dans du bouillon de volaille. Cette relation a cassé en moi la petite coléreuse que je pouvais être, celle qui s'était forgé un bon caractère parce qu'elle était bien trop petite et fine pour se battre à l'école. Donc j'étais devenue assez méchante, je savais exactement là ou il fallait pincer pour faire mal aux gens. Mais je me contentais pas de pincer, je mettais une tenaille rouillée trempée dans du sel, et des fois j'arrachais. Et bien, le jour où j'ai compris que j'étais tombé sur plus méchant que moi, je suis redevenue ultra-gentille. Comme quoi, ça m'a servi de leçon. Et je me suis toujours dit depuis ce jour, qu'on avait que ce que l'on méritait. J'ai été méchante, et bien j'ai été punie en rencontrant cet homme. Dieu est un bel enfoiré, je lui aurai fait un gros fuckl s'il m'avais demandé de prêter mon diable pour que Jesus puisse porter sa putain de croix. 

Jeudi 26 mai 2011 à 15:54

 Emilie, où comment se faire avoir par un non-photographe pervers qui veut voir des minettes à poil. Mais je suis tellement intelligente que je l'ai grillé alors qu'il faisait encore ses courses à Champion, c'est pour dire. Bref, je suis en pleine recherche de vrai travail, mais en attendant, pour pouvoir vivre dignement et m'acheter mon paquet quotidien de Mikado, je répond à des petites annonces. Très souvent des annonces où des photographes "professionnels" cherchent des modèles féminins contre rémunération. J'ai déjà eu de très bonnes expériences, mais hier, je tombe sur le bon gros fake de base. Déjà, il écrit mal, et j'aime pas ça. Bon après, je me dis que, peut-être la nature a tout donné dans son talent de photographe et n'a pas laissé la place pour l'orthographe. Je ne fais pas ma mijorée, et je continue a blablater avec lui par boite mail interposées. Il me demande mon tarif, je lui donne celui de base qui est pour des photos simples, cela va sans dire habillée, intérieur, et pour une heure de travail. Il me dit qu'il désire faire de la lingerie. Ah ben là mon p'tit, le tarif augmente. Il est d'accord avec ce tarif, mais pour du nu. Je lui explique que non, a ce tarif, je me la joue classe en sous-vêtements Princesse Tam-Tam, mais je fais ma vénus que si je suis payée le double de ce que j'ai demandé pour de la lingerie. non mais oh, je donne pas mon corps gratos. Je lui signale par ailleurs que je lui ferai signer une décharge comme quoi j'ai des droits sur les photos, et qu'il n'a pas le droit de les publier sans mon accord. Réponse plutôt septique du gars, je commence à le saouler avec mes conditions. Mais il est d'accord, on prévoit donc un rendez-vous pour la semaine prochaine, et là, ni une, ni deux, je lui dit que je viens accompagnée d'un ami. Réponse cash de Monsieur le photographe débutant avec son Iphone je pense "Bonne chance pour trouver un photographe qui accepte que tu viennes au shooting accompagnée". Pardon? De quoi? Mais en quoi ça le dérange? Aaaah d'accord... Je tente une dernière question 3Avec quel type d'appareil travailez-vous?" Et bien figurez-vous que le monsieur ne daigne pas répondre... Enfin voilà, un bon gros fake comme je les aime pas, parce qu'il y a des filles bien plus naïves que moi dans ce domaine... Le mecton était un pervers qui voulait voir une petite nana à poil tranquillement, et voir allé plus loin... Pathétique. 

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